A ma dernière ex in the city

Publié le par Marcquis de jaude

Une muse…

            Une sirène…

                        Une partenaire…

Une riche héritière…

                                               Un garçon manqué…

                                                           Une gamine de 15 ans…

                             Une James Bond girl…

                                           Une femme mystérieuse…

 

Une petite fille qui a peur de se laisser aller et veut montrer qu’elle est forte.

Parfois brutale, souvent rude, elle peut faire preuve de douceur et d’une infinie tendresse.


Telle une belle bête sauvage effrayée qui sort ses crocs pour dissuader tout étranger de l’approcher.

 

Le plus heureux des hommes je suis quand je vois son regard saphir posé sur moi.

 

Intense est chaque moment passé auprès d’elle, et je savoure tous ces instants.

D’un érotisme fou, elle est d’une féminité sans égale; malgré qu’elle veuille cacher sa féminité.

 

Une drôle de femme à défaut d’être une femme drôle…

Miss boutade :



Violente

Aphrodisiaque

 

.

.

.


Je pense l’avoir comprise… et l’apprécier à sa juste valeur.

 

Je me sens capable de tout pour elle… de l’aimer, la chérir, l’honorer, et la garder dans la maladie et dans la santé jusqu’à ce que la mort nous sépare.

 

Pourtant, j’ai des appréhensions, celles de ne pouvoir la combler, ses envies de se restaurer à l’extérieur, son goût immodéré pour les marques et les grosses voitures, son désir d’indépendance, tout cela est loin de faire partie de mon univers…

Je pense être modeste et sincère voila ma seule richesse.



Je me sens poète maudit, tourmenté car elle m’inspire et m’aspire… puisque malgré mes sentiments et mon amour pour toutes les facettes de son être ; j’accepte sans conditions ses qualités et la plupart de ses défauts.Mais elle n’a qu’un seul défaut que je ne peux pas à surmonter...                                                                    …elle est sienne !

Ce tourment insuffle en moi cette envie d’écrire, et cela prendra fin si cette histoire aura une fin heureuse…

 

 

Durant mes étude on m’a raconté une expérience où un bébé singe après sa naissance fut nourrit par un robot, résultat : le petit singe se laissa mourir car il n’avait pas reçu d’affection.

 

Un être sans amour ne peut survivre, et se laisse mourir…

 

 

Tout comme se meurent mes sentiments, mes désirs, mes joies, mes rêves…

 

Je me retrouve perdu avec toutes ces paroles plus blessantes les une que les autres, si ce sont des vérités, et ne laissant planer sur moi aucun espoir.

 

Une simple présence ne me suffit pas…

Te savoir si près sans mots tendres, sans geste de douceur, sans regard langoureux, sans contact, est un vrai enfer…

 

Je ne suis pas pessimiste, juste réaliste.

Je n’étais pas optimiste, mais sûrement idéaliste voire rêveur.

 

Je souffre en espérant une vivre avec toi, en regardant l’avenir à travers toi.

 

 

J’ai découvert en toi, un être d’une infinie douceur avec, un regard tendre, un visage rayonnant et serein, d’une beauté sans égale, dégageant une aura telle une déesse.

 

Je l’ai vu de mes propres yeux cette créature de lumière, et j’en suis tombé éperdument amoureux.

 

Pourquoi enfouir cette facette ?

 

 

Je comprends que tu aies souffert et ne veux plus le revivre mais se forger une carapace, te rend imperméable à l’amour. Tu rends malheureux ceux qui t’aiment comme l’a fait celui que tu veux nier.

Ne deviens pas un monstre !

 

Tu n’es pas un alien ! …

 

…juste un ange qui s’est enfermé dans une  coquille.

 

 

 

 

Ouvre toi au monde, mon ange !


 

 

 

 

Laisse moi te soutenir, te protéger, te réchauffer… te rejoindre.

Publié dans Lettres à...

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